UNE HONTE FRANCAISE !
Quand la réalité dépasse la fiction ... Ci-joint une décision de justice proprement incroyable.
En pièce jointe, une photo horrible de trois des innombrables victimes innocentes des attentats FLN, extraite de l'ouvrage "La bataille d'Alger" de Jacques Le Prevost, édité par les Editions Baconnier d'Alger, en mai 1957. Ce sont des photos (et bien d'autres encore plus horribles)qui restent soigneusement cachées par l'intelligentsia progressiste. Elles devraient pourtant être versées au dossier chaque fois que le sujet de la guerre d'Algérie est abordé. Elles permettraient sans doute à nos compatriotes ignorants de comprendre pourquoi certains ont pris les armes en 1961 !
C.A.
Nicole GUIRAUD a été gravement blessée dans l' attentat du " Milk Bar". Elle n'avait pu obtenir un droit de réponse lors de la projection du film sur les porteuses de bombes la voici maintenant condamnée par notre justice!
LA PETITE NICOLE SUR SON LIT DE SOUFFRANCE :
La France, grande, belle et généreuse, pays des droits de l’homme, s’il en est un, condamne avec une fermeté exemplaire le terrorisme…Quand il s’agit de dictateurs, anciens amis, certes, mais jamais lorsqu’il s’agit de ses propres enfants, lesquels ont été versés dans les charniers du FLN, ou mutilés à vie, juste pour attirer l’attention du monde, non pas sur les victimes, mais sur leurs bourreaux !
C’est ainsi qu’à l’âge où les fillettes sautent à la corde, Nicole Guiraud s’apprêtait à savourer une douceur, chez le meilleur pâtissier glacier d’Alger, quand son bras fut arraché pour satisfaire aux exigences d’une arithmétique de la terreur ! « Je voyais bien que mon bras gauche, complètement sectionné, ne “répondait plus “, ne m‘appartenait déjà plus… Je jouais avec les doigts de ma main inerte comme avec ceux d’une poupée. Je ne ressentais pas la douleur. Encore sous le choc, j’étais trop “sonnée” pour ça. Mais je sentais que j’allais mourir bientôt … »…
Ainsi, à 10 ans, cette petite fille, blessée à vie dans sa chair, a été immolée, comme tant d’autres, sur l’autel d’un calcul morbide… Pour que triomphe le terrorisme sur une terre française, il fallait que des bambins soient amputés, et que d’autres meurent… Ces enfants, leurs bras, leurs jambes, tout leur poids d’entrailles, leur espoir de bonheur, leurs chances de survie, il fallait que tout cela soit versé, comme un carburant, dans la machine infernal d’un terrorisme aveugle, devenu aujourd’hui mondial !
Et durant toute une vie, l’enfant, la jeune fille, la femme qu’elle est devenue ont du vivre, et revivre sans cesse, l’instant de l’explosion, le bruit assourdissant, les objets fracassés qui volaient de tous les côtés, le brouillard de fumée qui l’aveuglait, et la panique qui ne devait plus quitter Nicole… On ne se remet pas d’une telle épreuve, le moindre écho la restitue… Le temps passe sans fermer la blessure, et même si la chair meurtrie cicatrise, l’âme reste estropiée à vie.
Il faut avoir vu les œuvres de Nicole Guiraud, elles traduisent bien l’immense traumatisme auquel elle résiste, jour après jour, avec des périodes d’exaspération tellement intenses et insurmontables qu’elles ont failli, à de nombreuses reprises, la pousser aux pires des extrémités… Malgré son courage, sa détermination et sa foi, Nicole a fait plusieurs tentatives de suicide pensant que l’horreur ne la poursuivrait pas au-delà de la vie…
Elle n’était pas au bout de ses peines… D’autres blessures, comme des jets d’acide, sont venue dans son infortune de mutilée à vie, étaler, sur les écrans français, la gloire et les louanges des monstres capables de tels forfaits, c’était une indécence, une honte française, pour notre pays abritant sur son sol ses propres enfants, victimes survivantes du terrorisme FLN aveugle, bestiale, inhumain…
Nicole Guiraud ne l’a pas supporté… Alors elle s’est tournée vers la Justice pour que cessent de tels tourments… Elle a réclamé le droit à la dignité humaine, en tant que femme, même mutilée, même souffrant chaque nuit mille morts dans le cauchemar… Les juges ne l’ont pas entendue. Après tout, au nom de la liberté de la presse, au nom de l’émancipation des peuples, il était bon, il était juste que des enfants meurent et que d’autres deviennent manchots, unijambistes, culs de jatte, aveugles et sourds…
Notre malheureuse victime, emblème de toutes les autres, après avoir été relaxée en première instance, a cru à l’incompréhension des premiers juges… Elle a porté l’affaire en Cassation… Malheureuse ! Qu’avait-elle commis là ? Un crime de lèse-terrorisme ! Cela existe encore en France, et peu importe si le Président de la République Française peut bien engager nos troupes et nos hommes, en Lybie où ailleurs pour combattre le terrorisme aux frais des contribuables français, ici, dans ce pays dit des Droits de l’Homme, ce sont les victimes qui sont condamnées lorsqu’elles osent demander un peu de considération sur leur état de victimes civiles innocentes mutilées à vie par un terrorisme aveugle !
Ainsi Nicole Guiraud a été condamnée par l’arrêt rendu par la Cour d’Appel de Paris, le 19 octobre 2011, aux dépens de première instance et d’appel, et comme si ce n’était pas suffisant, à payer 1.000 € à la société FRANCE TELEVISION et 1000 € à la société BFC PRODUCTIONS auteur du film élogieux sur « Les porteuses de feu » autrement dit les meurtrières terroristes qui déposaient des bombes dans les lieux publics, les cars scolaires, les arrêts de bus, et autres endroits où les Français d’Algérie fournissaient ainsi, à partir de leurs chairs mutilées le carburant indispensable à l’alimentation de la grande machine anticolonialiste qui détruira l’Occident !Refusant toutes subventions, le Comité VERITAS ne vit et n’agit qu’avec les cotisations de ses adhérents. Grâce à notre premier Président, généreux mécène, nous avons pu aider Nicole Guiraud face à la Justice dont nous espérions l’équité. Aujourd’hui, notre premier Président a quitté ce monde et nos rangs s’amenuisent d’année en année, cependant, nous avions tenu à aider encore aux premiers frais du procès en appel. Aujourd’hui, notre situation devient plus difficile, et nous rappelons que, malgré tout, notre vaillante équipe s’est engagée dans la réhabilitation du cimetière de Pujol de Bosc.
Le Comité VERITAS ne peut pas prendre à sa charge exclusive les importants frais imposés par l’appel de ce procès sans compromettre son équilibre … Mais il n’est pas non plus question de les laisser supporter par la victime de ce terrorisme aveugle !
C’est pourquoi nous lançons un appel à l’aide à tous nos adhérents et amis. Aidez-nous à réunir la somme nécessaire pour couvrir les frais du procès Guiraud ! Chacun peut adresser un chèque au Comité VERITAS Boîte Postale 21 – 31620 Fronton avec mention « procès Guiraud ! »
MERCI DE VOTRE AIDE !
Djamila Bouhired
ET LA TERRORISTE RESPONSABLE ELLE VIENT SE FAIRE SOIGNER EN FRANCE ET ON LA LOGE DANS UN PALACE !