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 adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques

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Kéo
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Kéo



adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques Empty
MessageSujet: adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques   adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques EmptyLun 10 Nov 2014 - 20:21

Questions sur l’abandon de l’euro.
Daniel Fédou, le 14 juillet 2014
Pourquoi faudrait-il que la France abandonne l’euro ?
Les problèmes de notre pays proviennent avant tout de la perte de compétitivité de nos entreprises
soumises à la concurrence internationale. Nous expliquons cela depuis plus de 20 ans. Nos élites
politico-administratives paraissent commencer à le comprendre : tant mieux. Mais ce n’est qu’un début, comme
le montre le contenu du CICE [1]. A ce jour, elles ont accumulé tellement de mesures qui allaient dans le
mauvais sens que je ne vois plus d’autre solution désormais que de quitter l’euro.
Il faudrait donc revenir au franc ?
Non. Revenir au franc obligerait à recalculer tous les prix et de ce fait compliquerait inutilement notre vie
quotidienne. En revanche, adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance
monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques. Il y a le dollar américain, le dollar canadien, le dollar
australien..., il y aurait l’euro français.
Pourquoi quitter l’euro nous permettrait-il de retrouver notre compétitivité internationale ?
Parce que la valeur de la monnaie d’un pays, lorsqu’elle ne fait pas l’objet de manipulations, s’adapte
automatiquement à la compétitivité des entreprises du pays. Si ses habitants achètent trop à l’étranger,
ou si ses entreprises n’exportent pas assez, la monnaie perd de sa valeur, ce qui rend les produits
étrangers plus chers et les produits à exporter moins chers. Ainsi, avoir sa propre monnaie permet de
maintenir de manière automatique, et largement indolore, la compétitivité des entreprises.
Mais l’euro ne peut pas être la cause de nos problèmes, puisque l’Allemagne, qui l’a elle-aussi adopté,
se porte bien !

J’ai entendu des dizaines de fois ce raisonnement, qui n’a aucun sens. Vous viendrait-il à l’idée de dire
qu’un costume qui va très bien à votre voisin vous irait tout aussi bien, si votre voisin mesure 15 cm de
plus que vous et pèse 15 kilos de moins ? Ce n’est pas parce que l’euro convient à l’Allemagne qu’il
convient à la France.
L’euro est très favorable à l’Allemagne, car il est sous-évalué pour elle, et très pénalisant pour nous,
car il est beaucoup trop fort pour nos performances à l’exportation. Le grand excédent commercial
allemand et le lourd déficit français en apportent une démonstration irréfutable.
Aurait-on pu éviter l’échec que l’on constate aujourd’hui ?
Sans doute. Mais il aurait fallu que notre élite politico-administrative comprenne ce qu’implique l’
adoption d’une monnaie commune.
A l’époque, elle vivait dans l’illusion que l’euro nous permettrait de ne plus nous préoccuper de notre
balance commerciale extérieure, à l’instar des USA. Elle a donc fait exactement le contraire de ce qu’il
aurait fallu. Par exemple les 35 heures : alors que le chômage augmentait parce que notre compétitivité
s’émoussait, elle n’a rien trouvé de mieux que de pénaliser encore plus nos exportateurs en réduisant la
durée du travail sans toucher aux salaires.
Aujourd’hui, elle prend progressivement conscience des réalités, mais d’une manière encore confuse.
Elle continue donc à prendre des mesures inadaptées à la situation.
Ne suffirait-il pas maintenant que l’euro soit moins fort pour résoudre nos problèmes ?
En effet. Mais l’euro est à sa juste valeur, celle qui permet d’équilibrer les échanges de l’ensemble des
pays de la zone euro avec le reste du monde. Il est donc faux de dire que l’euro est trop fort. Ce qui est
vrai, c’est qu’il est trop fort pour la France.
Symétriquement, il est trop faible pour les Allemands. Et ils n’ont aucune raison d’accepter de réduire
leur pouvoir d’achat pour nous faire plaisir. Demander un euro plus faible n’a donc aucune chance
d’aboutir [2]. C’est une forme d’incantation qui nous détourne des seules solutions à notre disposition.
Tout le monde dit qu’abandonner l’euro nous coûterait très cher.
C’est tout le contraire. Il faut bien comprendre que l’abandon de l’euro est une des réponses possibles à
un impératif : celui de retrouver l’équilibre de nos échanges avec les pays étrangers.
C’est leur déséquilibre qui est la cause fondamentale de nos difficultés. On a pu masquer le problème pendant des
années en augmentant notre endettement, autrement dit en faisant de la croissance à crédit. Mais on ne
peut plus continuer. C’est pourquoi retrouver l’équilibre de nos échanges extérieurs est désormais
impératif.
Il s’agit donc de savoir quel est le moyen qui nous permettra d’y parvenir au plus vite et au moindre coût
pour les Français. Si nous préconisons d’abandonner l’euro, ce n’est pas pour des raisons politiques ou
d’attachement philosophique à l’indépendance nationale. C’est parce que c’est le meilleur moyen

Pourquoi ?
Retrouver l’équilibre extérieur en conservant l’euro va nous coûter très cher. Pour en évaluer le prix,
il faut regarder ce qu’on a demandé aux Espagnols, aux Portugais ou aux Grecs.
Les premières mesures qui sont prises actuellement en France-la hausse des impôts, le blocage des
salaires des fonctionnaires, la baisse des investissements publics et des prestations sociales ...
-coûtent déjà cher aux Français. Et elles ne suffiront absolument pas, car elles n’auront que des résultats
insignifiants sur nos échanges avec l’étranger.
Mais ces mesures sont prises pour redresser nos finances publiques, pas pour redresser la balance
commerciale...
C’est la même chose! Nous avons montré que l’un est la cause de l’autre [3]. Le déséquilibre de la
balance commerciale se traduit inévitablement par un endettement croissant des agents économiques
du pays. Aux USA, en Espagne, ce sont les ménages qui s’étaient endettés et cela a provoqué la crise des
subprimes. En France, c’est l’Etat qui s’est endetté. Il doit désormais s’arrêter.
C’est pourquoi, pour réduire notre dette publique, il faut commencer par retrouver l’équilibre extérieur,
et le meilleur moyen d’y parvenir est de retrouver notre compétitivité perdue. La méthode suivie
actuellement, qui vise à restaurer
l’équilibre extérieur en réduisant la croissance et l’emploi pour freiner
les importations, est d’un coût considérable pour la nation.
Quel est le coût à court terme d’un abandon de l’euro ?
Il est très largement surestimé par les commentateurs. Ils laissent croire qu’une dévaluation de 15%[4]
de notre monnaie par rapport à l’euro entraînerait une baisse de 15% du pouvoir d’achat des
Français.
Mais c’est totalement faux. Dans le pire des cas, on aurait une baisse de 2% à court terme.
Cette baisse disparaîtra progressivement puis deviendra un gain de pouvoir d’achat au fur et à mesure
que les exportations redémarreront et que le chômage diminuera. Il ne faut pas oublier en effet que le
pire gaspillage que connaît notre pays aujourd’hui est constitué par ces millions de Français qui ne
travaillent pas et pourraient contribuer à produire la richesse nationale.
Comment arrivez-vous à ce chiffre de 2% ?
D’abord parce que nos importations ne représentent que le quart de notre consommation. Or seuls les
prix de ces dernières sont touchés par une dévaluation. L’incidence directe ne serait donc pas de 15%,
mais du quart, soit 3,75%. Ce chiffre doit d’ailleurs être considéré comme un maximum, car les
producteurs étrangers seraient amenés dans un bon nombre de cas à baisser leurs prix vers la France,
pour essayer d’y conserver leurs parts de marchés.
[3] Dans le document :http://entrepriseemplois.fr/Textes/articleCC2.html
[4] C’est sans doute autour de cette valeur que l’industrie française pourrait retrouver sa compétitivité perdue par rapport
à l’industrie allemande.

Par ailleurs, ce mode de calcul suppose que notre monnaie dévaluerait de 15% par rapport à toutes les
autres. Or ce n’est pas ce qui se passerait. Les pays qui garderaient l’euromark deviendraient fortement
excédentaires à cause du départ de la France, si bien que l’euromark s’apprécierait par rapport aux
autres monnaies, en particulier le dollar, le yen et beaucoup d’autres. De ce fait, l’euro français
dévaluerait nettement moins que de 15% par rapport à ces autres monnaies. En outre, il est plus que
probable que des pays comme l’Italie ou l’Espagne suivraient l’exemple de la France, si bien que l’euro
français ne dévaluerait pas du tout par rapport aux monnaies de l’Europe du sud.
Ne relancerait-on pas alors la guerre des monnaies ?
Voilà encore une objection dépourvue de fondement. Les pays occidentaux n’ont aucun intérêt à
dévaluer leur monnaie au-delà de ce qui est nécessaire pour équilibrer leur balance extérieure. Car cela
diminuerait le pouvoir d’achat de leurs habitants sans aucun avantage réel.
Laisser les monnaies adopter les parités qui équilibrent les échanges extérieurs ne constitue en rien une
guerre des monnaies. C’est au contraire le moyen de se mettre à l’abri des manipulations monétaires, en
laissant fonctionner les mécanismes de marché.
La période pendant laquelle les changes ont fonctionné ainsi a été une période de prospérité. Depuis que
l’euro a bloqué les parités monétaires des pays de la zone, la situation s’est dégradée pour eux. Il est à
cet égard particulièrement curieux de voir des hommes qui louent sans cesse les mécanismes des
marchés utiliser tous les sophismes possibles pour essayer de justifier pourquoi il faudrait bloquer ces
mécanismes lorsqu’il s’agit des monnaies nationales.
Nos exportations, qui contiennent une part importante de produits importés, ne seraient-
elles pas pénalisées par une dévaluation?
Voilà une ânerie monumentale. Nos produits exportés contiennent en effet une part, parfois importante,
de produits importés. Mais une dévaluation ne peut en aucun cas alourdir le prix d’une exportation.
Prenons un exemple simple, celui d’un avion entièrement fabriqué en France mais équipé de moteurs
américains, qui représentent le tiers du prix de revient total. En dollars, les moteurs coûtent 100, l’avion
est vendu 300. Après une dévaluation de 15%, les moteurs coûteront en effet 15% plus cher au
constructeur français. Mais il pourra exporter son avion au prix de 270, soit 15% de moins sur les 200 de
part française. Il pourra donc en vendre davantage.
L’effet de la dévaluation est moins important qu’espéré car il ne porte que sur la part française. Mais il
reste positif en toute circonstance.
Il reste qu’une dévaluation alourdit le poids de la dette à rembourser, d’autant plus que celle-
ci est détenue en grande partie par des étrangers.
A quoi sert-il de contenir sa dette si l’on ne peut pas la rembourser? Il vaut évidement mieux accepter
de l’augmenter un peu si cela permet de redevenir capable de la rembourser. Imaginez un artisan endetté
dont la camionnette qui lui est indispensable pour travailler est devenue inutilisable.
Doit-il renoncer à emprunter pour en acheter une autre, et se condamner ainsi à ne plus travailler, ou
accroître son endettement pour pouvoir continuer à travailler ?

Pour que la France puisse rembourser ses dettes, il faut qu’elle se donne les moyens d’exporter
davantage.
Ajoutons que l’on surestime fortement l’augmentation de la dette qui résulterait d’une dévaluation de
notre monnaie. Certes, celle-ci est détenue aujourd’hui en majorité par des étrangers. Mais dans un
grand nombre de cas, ce sont des organismes financiers qui ont des filiales françaises. En c
as de menace d’une dévaluation de l’euro français, ces organismes s’empresseront de transférer les prêts à leurs
filiales françaises, pour ne pas risquer de subir des pertes de change. Du jour au lendemain, cette dette
détenue par des étrangers sera détenue par des entreprises françaises.
Quant aux autres prêteurs étrangers, ils savent que prêter comporte des risques, et les taux d’intérêt
sont là pour les couvrir.
Mais ils ne nous prêteront plus !
Vous oubliez que les détenteurs de capitaux doivent trouver des emprunteurs pour gagner de l’argent.
Regardez la situation actuelle : la France emprunte à des taux très bas alors que, faute de croissance, elle
est incapable de rembourser.
Qu’elle retrouve sa capacité de rembourser, et elle continuera de trouver des prêteurs. D’autant qu’elle
dispose d’une épargne nationale très forte et qui suffirait.
La seule vraie question concerne les taux d’intérêt, qui augmenteraient certainement. Mais il vaut mieux
emprunter à 3% avec une croissance de 2%, qu’à 1% avec une croissance nulle.
Si la France renonçait à l’euro, ne porterait-elle pas un coup fatal à la construction européenne ?
C’est au contraire parce que l’on s’obstine à vouloir sauver l’euro que la construction européenne est en
train de se déliter. Les réticences à l’égard de l’Union européenne se répandent dans tous les pays : les

Par ailleurs, ce mode de calcul suppose que notre monnaie dévaluerait de 15% par rapport à toutes les
autres. Or ce n’est pas ce qui se passerait. Les pays qui garderaient l’euromark deviendraient fortement
excédentaires à cause du départ de la France, si bien que l’euromark s’apprécierait par rapport aux
autres monnaies, en particulier le dollar, le yen et beaucoup d’autres. De ce fait, l’euro français
dévaluerait nettement moins que de 15% par rapport à ces autres monnaies. En outre, il est plus que
probable que des pays comme l’Italie ou l’Espagne suivraient l’exemple de la France, si bien que l’euro
français ne dévaluerait pas du tout par rapport aux monnaies de l’Europe du sud.
Ne relancerait-on pas alors la guerre des monnaies ?
Voilà encore une objection dépourvue de fondement. Les pays occidentaux n’ont aucun intérêt à
dévaluer leur monnaie au-delà de ce qui est nécessaire pour équilibrer leur balance extérieure. Car cela
diminuerait le pouvoir d’achat de leurs habitants sans aucun avantage réel.
Laisser les monnaies adopter les parités qui équilibrent les échanges extérieurs ne constitue en rien une
guerre des monnaies. C’est au contraire le moyen de se mettre à l’abri des manipulations monétaires, en
laissant fonctionner les mécanismes de marché.
La période pendant laquelle les changes ont fonctionné ainsi a été une période de prospérité. Depuis que
l’euro a bloqué les parités monétaires des pays de la zone, la situation s’est dégradée pour eux. Il est à
cet égard particulièrement curieux de voir des hommes qui louent sans cesse les mécanismes des
marchés utiliser tous les sophismes possibles pour essayer de justifier pourquoi il faudrait bloquer ces
mécanismes lorsqu’il s’agit des monnaies nationales.
Nos exportations, qui contiennent une part importante de produits importés, ne seraient-
elles pas pénalisées par une dévaluation?
Voilà une ânerie monumentale. Nos produits exportés contiennent en effet une part, parfois importante,
de produits importés. Mais une dévaluation ne peut en aucun cas alourdir le prix d’une exportation.
Prenons un exemple simple, celui d’un avion entièrement fabriqué en France mais équipé de moteurs
américains, qui représentent le tiers du prix de revient total. En dollars, les moteurs coûtent 100, l’avion
est vendu 300. Après une dévaluation de 15%, les moteurs coûteront en effet 15% plus cher au
constructeur français. Mais il pourra exporter son avion au prix de 270, soit 15% de moins sur les 200 de
part française. Il pourra donc en vendre davantage.
L’effet de la dévaluation est moins important qu’espéré car il ne porte que sur la part française. Mais il
reste positif en toute circonstance.
Il reste qu’une dévaluation alourdit le poids de la dette à rembourser, d’autant plus que celle-
ci est détenue en grande partie par des étrangers.
A quoi sert-il de contenir sa dette si l’on ne peut pas la rembourser? Il vaut évidement mieux accepter
de l’augmenter un peu si cela permet de redevenir capable de la rembourser. Imaginez un artisan endetté
dont la camionnette qui lui est indispensable pour travailler est devenue inutilisable.
Doit-il renoncer à emprunter pour en acheter une autre, et se condamner ainsi à ne plus travailler, ou
accroître son endettement pour pouvoir continuer à travailler ?résultats des dernières élections européennes sont éloquents.
Il est clair que les difficultés économiques d’un certain nombre de pays, et l’aide que ces derniers
demandent à ceux qui se portent bien, en sont une des deux causes principales. L’autre réside dans les
problèmes que pose la concurrence entre les pays européens sur les rémunérations et les protections
sociales. Mais elle est indissociable de l’euro. Car le bon fonctionnement d’une monnaie unique exige la
libre circulation des personnes à l’intérieur de la zone. Il faut en effet que les salariés des pays les moins
compétitifs puissent trouver un emploi dans ceux qui le sont davantage. Imaginez ce que serait le
chômage en France si les Auvergnats n’avaient pas pu aller chercher du travail en région parisienne !
On veut construire l’Europe en singeant le modèle américain ; c’est une grave erreur. Avoir une même
monnaie n’est absolument pas nécessaire. L’exemple des pays de l’Union qui n’ont pas adopté l’euro
comme le Danemark, la Suède ou le Royaume-Uni en apportent la preuve.
Nicolas Sarkozy avait commandé une comparaison des règles fiscales et sociales entre la France et
l’Allemagne [6]. Il n’y apparaissait aucune différence décisive. En revanche, il est clair que l’industrie
allemande des machines-outils profite à plein du développement industriel de la Chine. Et que son industrie automobile,
positionnée depuis longtemps dans le haut de gamme, profite de l’essor dans de nombreux pays
d’une classe aisée que la mondialisation enrichit. Ce sont les différences de ce type-là qui provoquent
la divergence économique de nos deux pays. Aucune intégration européenne ne peut les effacer.
Seul un ajustement des parités monétaires pourrait y remédier.
D’ailleurs, la coordination économique entre les pays de la zone euro s’est développée ces dernières
années. On voit où elle conduit : faute d’une remise en cause de l’euro, il ne reste qu’à pousser les pays
déficitaires à faire des programmes d’austérité, qui certes redressent les balances commerciales en
réduisant la consommation, mais qui créent en même temps chômage et récession.
Pourquoi n’entend-on aucun homme politique dans les partis politiques de gouvernement défendre
les mêmes positions que vous ?

Tout le monde voit que l’euro est un échec. Qu’au lieu de la prospérité qui nous était annoncée, il en est
résulté pour notre pays un déclin durable et qui paraît sans fin.
Mais aucun de nos responsables politiques des partis de gouvernement ne veut le reconnaître, sans
doute pour ne pas mettre en lumière l’incompétence dont ils ont fait preuve depuis la création de l’euro.
http://agirpourlafrance.fr/
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MessageSujet: Re: adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques   adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques EmptyMar 11 Nov 2014 - 9:05

Il y a un déni complet de nos politiques, mais on va mourir au nom de l'euro...
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adopter un euro français permettrait de retrouver notre indépendance monétaire tout en évitant ces problèmes pratiques
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