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| François Hollande donne à l'évolution inexorable du chômage. Comprenez bien : ce n'est pas le matraquage fiscal, l'instabilité juridique, la défiance publique à l'égard des entrepreneurs, la montagne de lois inadaptées qui ont créé 3 506 600 chômeurs | |
| | Auteur | Message |
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réré enregistré
| Sujet: François Hollande donne à l'évolution inexorable du chômage. Comprenez bien : ce n'est pas le matraquage fiscal, l'instabilité juridique, la défiance publique à l'égard des entrepreneurs, la montagne de lois inadaptées qui ont créé 3 506 600 chômeurs Ven 26 Aoû 2016 - 16:34 | |
| - Contribuable associés a écrit:
- Chers amis,
« Pas de bol », c'est la réponse que François Hollande donne à l'évolution inexorable du chômage. Comprenez bien : ce n'est pas le matraquage fiscal, l'instabilité juridique, la défiance publique à l'égard des entrepreneurs, la montagne de lois inadaptées, la complexité administrative, qui ont créé 3 506 600 chômeurs. Non, c'est juste « pas de bol » !
Ce président nous prend vraiment pour des c…tribuables !
Il avait demandé à être jugé sur son bilan : regardons ensemble l'application de ses promesses.
Les rares emplois créés sont surtout des emplois subventionnés. Pas de réelle baisse du chômage, mais une diminution artificielle payée à grands coups de taxes.
Il faut en finir avec ces emplois subventionnés qui sont une perte pour l'économie, et qui coûtent trop cher à nous, contribuables.
Les contrats d'avenir, contrats de génération, « plan d'urgence pour l'emploi » ne font qu'augmenter le poids des dépenses publiques, et par là l'impôt des contribuables.
François Hollande fait juste sortir certains chômeurs des chiffres officiels de Pôle Emploi en leur fournissant un emploi précaire, que beaucoup de jeunes perdront à la fin du délai déterminé. Du vent… grassement payé par nos impôts.
Les seuls emplois stables sont principalement des postes dans la fonction publique. J'ai calculé qu'un fonctionnaire coûte près de 50 000€ par an aux contribuables, somme que l'on doit multiplier par 40 ans de carrière (dans le meilleur des cas !), 20 ans de retraite (dont le mode de calcul est inégalitaire par rapport à celui des travailleurs du privé) et en moyenne 10 ans de pension de réversion.
Certes, vous me direz que François Hollande fait ainsi sortir certaines personnes du spectre du chômage, mais je vous répondrai que ces emplois publics ne sont pas créateurs de richesses. Ils alourdissent la charge des entreprises, le budget de l'Etat et le fardeau des contribuables.
La Cour des comptes a dénombré dans un rapport récent que pesait sur les entreprises 233 impôts et taxes différentes. C'est gigantesque. Nos entreprises ne peuvent pas jouer à armes égales avec leurs voisines européennes, quand elles ont de tels boulets fiscaux aux pieds ! Voilà, là où il faudrait agir plutôt que de tuer les petites entreprises par taxes successives.
Pour lutter efficacement contre le chômage, il faut mettre en place les conditions d'un retour à l'emploi en facilitant l'entreprenariat et la création d'entreprises. C'est ce que demande Bernard Zimmern, président de l'Institut de Démographie des Entreprises et membre de l'Assemblée générale de Contribuables Associés, dans son étude « une politique industrielle pour les candidats présidentiels ».
Prenons l'exemple allemand. Comme l'écrit Alain Mathieu, président d'honneur de Contribuables Associés, dans son dernier ouvrage, la différence de compétitivité entre la France et l'Allemagne est de plus de 172 milliards d'euros. Les entreprises allemandes versent moins d'impôts, pas de taxe professionnelle, pas de taxe sur les salaires, pas de taxes d'apprentissages. Elles sont soumises à des charges sociales moins élevées. Résultat : le budget allemand ne cesse d'engranger des excédents, tandis que le nôtre creuse son déficit.
L'inversion de la courbe du chômage passe par l'inversion de la courbe des dépenses publiques et des impôts. Or, depuis 2007, les impôts ont augmenté de 20% !
Dans les derniers mois avant l'élection présidentielle, Hollande se montre prêt à tout pour conserver son fauteuil à l'Elysée, à nos frais, nous contribuables Français.
Le 19 février 2016, notre président déclarait « s'il n'y a pas de baisse du chômage, vous savez quelles conclusions j'en tirerai ».
Malheureusement, pour sauver le programme de François Hollande, c'est votre feuille d'impôt qui le fera !
Eudes Baufreton Délégué général | |
| | | | François Hollande donne à l'évolution inexorable du chômage. Comprenez bien : ce n'est pas le matraquage fiscal, l'instabilité juridique, la défiance publique à l'égard des entrepreneurs, la montagne de lois inadaptées qui ont créé 3 506 600 chômeurs | |
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