Et pour illustrer la situation actuelle et la stérilité des cocus, un document vérifié qu'on vient de me transmettre:
Quand on sait "QUI" tire les ficelles on comprend mieux ce qu'on subit à lire vraiment !!!!! incroyable !!!!!!!
On comprend mieux les décisions prises, bonnes ou mauvaises ....
INTÉRESSANT ! , Président... pas par hasard
Pour ceux qui veulent savoir,
Président ...... pas par hasard !!!
La lecture de ce récit vaut son pesant d’or !!!! Tout est orchestré !!!
*Hier, nous avons tous pu prendre connaissance des sommes engagées par les différents candidats lors des dernières élections présidentielles.*
On découvre ainsi qu'Emmanuel Adolphe de Petit-Néron a dépensé *16,7 millions d'euros* pour sa campagne.
C'est même le candidat qui a dépensé le plus.
Curieusement, aucun journaliste soulèvera la question suivante: Comment un homme inconnu du grand public un an auparavant, jamais élu, a-t-il pu en moins de deux ans créer un parti politique, l'animer et rassembler autant d'argent en si peu de temps.
La réponse à cette question, la genèse de l'histoire, c'est, en quelques sorte, Parker Pointu , commentateur de ce blog qui nous l'explique…
Accrochez-vous, ça décoiffe…
" Adolphe de Petit-Néron est remarqué par Henri de Castries, président d’AXA mais aussi président du Groupe Hilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou Club Bilderberg, un rassemblement annuel de plus d’une centaine de membres essentiellement américains et européens, et dont la plupart
sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias.
Ils voient en Adolphe de Petit-Néron l’opportunité d'infléchir la politique économique et industrielle française et de contrer les syndicats, pour aller sur une politique libérale à l’anglo-saxonne.
Cependant Adolphe de Petit-Néron ne parvient pas, à son poste de conseiller économique à l'Elysée, à faire fléchir Hollande et son gouvernement.
Lors de la réunion du Groupe Bildelberg à Copenhague du 29 mai au 1 er juin 2014, la réunion compte de nombreux banquiers notamment de la Deutsche Bank, Christine Lagarde, Benoit Coeuré, ancien de la BCE, et Adolphe de Petit-Néron.
De Castries et plusieurs banquiers se voient en présence de Adolphe de Petit-Néron.
Il est donc décidé de faire pression sur Manuel Valls pour que Mr Adolphe de Petit-Néron soit ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique dans le gouvernement Valls II en remplacement d’Arnaud Montebourg trop instable.
Jean-Pierre Jouyet est contacté et influence François Hollande.
Adolphe de Petit-Néron est donc nommé Ministre le 26 août 2014.
De Casties voit Valls et lui suggère de faire un geste vis-à-vis du patronat, de redorer son blason, qu’il en serait récompensé.
Le 27 août Valls participe à l’université d’été du MEDEF il a prononcé un discours salué par une longue « standing ovation ».
Les financiers ont réussi leur coup.
Leur prodige est à leurs bottes, il n’y a plus qu’à manipuler la marionnette.
Le patronat est satisfait mais le trouve encore trop timide dans ses réformes, ils le poussent à faire la loi «Macron2 ».
Mais Valls s’y oppose et donne le projet de réforme à Myriam El Khomri. Les financiers sont furieux contre Valls et décident sa perte, Valls l'a trahi. Cependant Adolphe de Petit-Néron réussi à inclure dans la loi : la réécriture du licenciement économique et le plafonnement des indemnités prud’homales.
Valls rétrograde Adolphe de Petit-Néron dans l’ordre protocolaire du gouvernement à l’occasion du remaniement réduit de février 2016.
Le 21 mars 2016 De Castries, Gattaz (MEDEF), Mario Draghi (BCE), John Cryan DB, des financiers et les patrons des groupes de presse, Bolloré, Drahi, Bergé se réunissent à Francfort, et décident d’épauler Adolphe de Petit-Néron pour la création d’un parti dévoué à leur cause.
Adolphe de Petit-Néron sera épaulé et financé pour créer un parti politique.
La manipulation est simple la presse écrite doit lui consacrer de nombreuses unes, notamment la presse féminine, et la presse destinée aux jeunes. La télévision doit le présenter comme le gendre idéal. Les patrons de presse créaient des groupes de travail uniquement dédiés à l’image et à la
communication Adolphe de Petit-Néron.
*Bolloré a eu cette réflexion : « Puisque la mode est aux couguars et aux MILF mettons sa couguar à la une, c’est tendance, les jeunes vont kiffer ! ».* Les financiers vont élaborer la création du parti.
Ils créent deux associations : l’« Association pour le renouvellement de la vie politique » et l’Association de financement du parti « Association pour le renouvellement de la vie politique » La deuxième sera financée par des fonds privés De Castries et Gattaz invitent Mr Logerot le président
de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques avec Mr Dargnat qui prendra la présidence de l’association de financement du parti, un ancien de BNP Paribas Asset Management. La machine est en marche. Le 6 avril 2016 le parti est créé. L’argent des groupes
financiers abonde, la campagne est lancée.
Fin avril 2016 Edouard Philippe maire du Havre est invité par De Castries et Bolloré, à Paris, ces derniers lui demandent de soutenir Adolphe de Petit-Néron puis ils invitent le futur premier ministre à la réunion Bidelberg qui se tient du 10 au 12 juin 2016 à Dresde. Une réunion se tient avec Christine Lagarde, Baroso et d’autres financiers.
*A l’issue se tient une autre réunion à Berlin où il est décidé de faire de Adolphe de Petit-Néron le Président de la France.*
Sont présent des financiers, le directeur de la BCE, Drahi,Bolloré, Bergé et surprise : Mr Louvel Président du Conseil supérieur de la Magistrature. Ils sont rejoints le temps d’un dîner par Madame Merkel.
Dans le même temps, il faut penser à décrédibiliser Hollande, un débat aura lieu le 14 avril 2016 sur France 2.
Les patrons de presse font pression sur Michel Field, patron de l'info du groupe France Télévision, pour que ce soit Léa Salamé, journaliste aux dents longues, multimillionnaire par son mariage et bobo moraliste qui anime le débat.
Le 14 avril 2016 elle fait son effet et François Hollande ne sera pas épargné.
En novembre, les primaires de droite sont ouvertes, Fillon gagne.
Jugé trop frileux dans son programme par les financiers, ils décident de l’éliminer. L’affaire Fillon est lancée, bien d’autres élus de droite et de gauche font travailler leur conjoints ou enfants, mais Fillon doit être éliminé.
Des rendez-vous sont pris par des informateurs dépêchés par les grands groupes de presse avec des journalistes du Canard Enchaîné et de Médiapart, journaux qui ont vu leurs subventions augmenter en 2017, comme par hasard.
Gaspard Ganzter, conseiller de Hollande mais aussi camarade de promo de Adolphe de Petit-Néron à l'ENA, rencontrera le directeur du Canard début janvier.
Déchaînement des médias sur Fillon, les journalistes bien obéissants et soi-disant indépendants se déchaînent. Mais surtout ils prennent soin de ne pas dénoncer les autres politiques qui commettent les mêmes délits. L’homme à abattre c’est Fillon.
De l’autre côté, ordre est donné d’axer sur le FN, sachant que lors d’une confrontation Adolphe de Petit-Néron Le Pen, Adolphe de Petit-Néron serait élu.
La Machine médiatique est en route, les magistrats sont dans la course; peu importe si cette campagne est nauséabonde, mais Adolphe de Petit-Néron doit sortir vainqueur coûte que coûte.
Lors d’une entrevue, entre Adolphe de Petit-Néron, Drahi, et Bolloré, Drahi dit à Adolphe de Petit-Néron : *« Ne brusque pas les français, dis leur ce qu’ils veulent entendre, ce sont des veaux, ils veulent une idole, un homme providentiel, ils sont dans le délire présidentialiste.* Ils haïssent les gens qui réussissent et gagnent de l’argent, ils veulent que tu sentes le pauvre.
Sache les séduire et les endormir et nous aurons ce que nous voulons. Beaucoup de gens (financiers et grands patrons)
comptent sur toi, ne les déçois pas !
Sers toi des gens du spectacle, du show-biz, ces arrivistes incultes se disent de gauche parce que cela fait bien, qui critiquent les financiers et l’argent, mais sont les premiers à faire de l’évasion fiscale, tu verras, ils viendront te lécher les fesses par intérêts, ce sont les pires, je ne les aime pas !»
Bolloré lui dit : * « Le Français veut de l’information instantanée, du scoop, il ne réfléchit pas, du foot, des émissions débiles, du c....................l, de la bière et il est heureux, il faut leur servir ce qu’ils veulent ! »*
Réunion le 11 avril 2017 avec De Castrie, Drahi, Jouyet, Sarre et d’autres personnages influents avant le 1er tour des élections, la ligne médiatique est organisée, la presse est dévouée à Adolphe de Petit-Néron, mais Mélanchon inquiète, ainsi que le manque de confiance des français envers les politiques.
Le 23 avril 2017 ils sont rassurés, Adolphe de Petit-Néron est en tête avec 24%. Drahi félicite Adolphe de Petit-Néron et lui dit : «Tu es président les français n’auront jamais les couilles de voter Le Pen et les autres tordus vont venir te lécher les fesses et voteront pour toi ! ». Cela se finit à la Rotonde... Adolphe de Petit-Néron savait qu’il était
président.
Le 24 avril la bourse prend 7 points, les places financières sont aux anges !
Ces élections présidentielles furent qu’à un seul tour, magnifiquement orchestrées par, les médias, la finance et le CAC 40, les français n’y ont vu que du feu !
Le 7 mai 2017, Adolphe de Petit-Néron est élu et nos patrons de presse et autres vont mettre leur terrible plan « en marche.
Le spectacle du Louvre fut un délire narcissique dont l’analyse révèle bien des intentions que je qualifierais de « déviantes » et bien éloignées des problèmes et attentes des Français.
Reste maintenant la dernière étape: les législatives.
Faire élire 50% à l’Assemblée Nationale de personnes qui n’ont jamais touché à la politique ou eu un mandat électoral.
Cette manoeuvre est organisée depuis Paris dans le cadre d’un mystérieux processus de sélection afin d’achever d’affaiblir le pouvoir législatif, le coeur de la démocratie, en mettant en place une sorte d’aréopage de personnes désignées qui seront à la botte du régime.
Là aussi, personne ne se posera la question du financement de toutes ces investitures. « Il faut que tout change pour que rien ne change ». Au second tour des législatives, Adolphe de Petit-Néron obtiendra une très nette majorité. Le changement est devenu le deus ex machina de la politique. ll a suffi de le promettre pour conquérir le pouvoir.
*Le peuple, par ces élections, a perdu sa souveraineté; maintenant il élit la personne que les financiers et les patrons de presse ont choisie.* Mais le réveil va être brutal, les français vont bientôt pleurer, mais ils ont les politiques qu’ils méritent !
Parker Point