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CHEMIN DE MEMOIRE DES PARACHUTISTES
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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
L’exercice Eunomia a prouvé la semaine dernière que l’Armée de l’Air et de l’Espace pouvait se passer du recours à l’Airbus DS A330 MRTT Phénix quand elle projette ses Dassault Aviation Rafale aux alentours de 2500 kilomètres. En effet le recours à l’Airbus DS A400M Atlas permet un transfert de carburant afin d’allonger le rayon d’action des chasseurs omnirôles ou bien simplement de les appuyer afin de garantir une autonomie sur zone. Une réalité qui ouvre de nouvelles perspective aussi bien pour la France qu’à destination des utilisateurs, actuels ou futurs, du Rafale. Ravitailler en vol des jets de combat depuis des tankers turbopropulsés n’a en fait rien de très nouveau, les Lockheed KC-130R Hercules de l’US Marines Corps l’ont longtemps fait à destination de feus les Grumman F-14A Tomcat et McDonnell-Douglas F/A-18A/B Hornet de l’US Navy. En fait jusqu’à assez récemment les seules images qu’on connaissait en France de ravitaillements en vol depuis des avions turbopropulsés concernaient les deux Lockheed-Martin KC-130J Super Hercules également de l’Armée de l’Air et de l’Espace opérant au profit d’hélicoptères d’assaut Eurocopter EC725 Caracal. Eunomia a démontré que transférer du carburéacteur depuis un A400M Atlas à destination d’un Rafale F3-R/F4 ne pose strictement aucun problème. Et c’est là assez révolutionnaire. Car outre le fait désormais d’alléger la charge de travail des A330 MRTT Phénix cela pourrait permettre d’entrevoir une fin de service accélérée des antédiluviens Boeing C-135FR acquis dans les années 1960 et modernisés une vingtaine d’années plus tard. Ces quadriréacteurs sont des dinosaures du ciel. Eunomia ? Ça sonne tout de même bien grecque comme nom ça ! Et c’est normale puisqu’il s’agit d’une des filles de Zeus par ailleurs déesse de la loi et de l’ordre. À vrai dire ça sonne surtout manœuvre militaire internationale. Outre nos aviateurs et ceux de la Grèce on retrouvait leurs collègues chypriotes et italiens.
Particularité notable à propos de l’A400M Atlas employé pour ravitailler les Rafale se rendant en Grèce : l’avion de l’Escadron de Transport 4/61 Béarn n’était pas du tout configuré en pur tanker ! Il remplissait une mission à la fois de soutien carburant et de transport tactique au profit des pilotes de chasse. Lots techniques et personnels d’accompagnement avaient pris place à bord du quadrimoteur. Une configuration qui vous rappelle quelque chose ? C’est normal c’est le principe même du MRTT, le Multi Rôle Transport Tanker, si chère au groupe Airbus. Photos :copyright: Armée de l’Air et de l’Espace. L’exercice Eunomia a prouvé la semaine dernière que l’Armée de l’Air et de l’Espace pouvait se passer du recours à l’Airbus DS A330 MRTT Phénix quand elle projette ses Dassault Aviation Rafale aux alentours de 2500 kilomètres. En effet le recours à l’Airbus DS A400M Atlas permet un transfert de carburant afin d’allonger le rayon d’action des chasseurs omnirôles ou bien simplement de les appuyer afin de garantir une autonomie sur zone. Une réalité qui ouvre de nouvelles perspective aussi bien pour la France qu’à destination des utilisateurs, actuels ou futurs, du Rafale. Ravitailler en vol des jets de combat depuis des tankers turbopropulsés n’a en fait rien de très nouveau, les Lockheed KC-130R Hercules de l’US Marines Corps l’ont longtemps fait à destination de feus les Grumman F-14A Tomcat et McDonnell-Douglas F/A-18A/B Hornet de l’US Navy. En fait jusqu’à assez récemment les seules images qu’on connaissait en France de ravitaillements en vol depuis des avions turbopropulsés concernaient les deux Lockheed-Martin KC-130J Super Hercules également de l’Armée de l’Air et de l’Espace opérant au profit d’hélicoptères d’assaut Eurocopter EC725 Caracal. Eunomia a démontré que transférer du carburéacteur depuis un A400M Atlas à destination d’un Rafale F3-R/F4 ne pose strictement aucun problème. Et c’est là assez révolutionnaire. Car outre le fait désormais d’alléger la charge de travail des A330 MRTT Phénix cela pourrait permettre d’entrevoir une fin de service accélérée des antédiluviens Boeing C-135FR acquis dans les années 1960 et modernisés une vingtaine d’années plus tard. Ces quadriréacteurs sont des dinosaures du ciel. Eunomia ? Ça sonne tout de même bien grecque comme nom ça ! Et c’est normale puisqu’il s’agit d’une des filles de Zeus par ailleurs déesse de la loi et de l’ordre. À vrai dire ça sonne surtout manœuvre militaire internationale. Outre nos aviateurs et ceux de la Grèce on retrouvait leurs collègues chypriotes et italiens.
claude.d et marienneau jean-michel aiment ce message
Ravitailler en carburéacteur un Rafale depuis un A400M Atlas, c’est facile !