Bienvenue sur notre forum Chemin de Mémoire des Parachutistes...
Si vous êtes membre de notre fratrie, ce message s'affiche car vous avez certainement oublié de vous connecter.
Si vous avez oublié votre mot de passe, en bas de page accueil du forum, par l'icône "contact", adressez un message à l'administrateur qui trouvera pour vous une solution.
Ce message s'affiche également pour nos visiteurs qui tardent à s'inscrire...!
En attendant, bonne navigation à tous.....!
CHEMIN DE MEMOIRE DES PARACHUTISTES
Bienvenue sur notre forum Chemin de Mémoire des Parachutistes...
Si vous êtes membre de notre fratrie, ce message s'affiche car vous avez certainement oublié de vous connecter.
Si vous avez oublié votre mot de passe, en bas de page accueil du forum, par l'icône "contact", adressez un message à l'administrateur qui trouvera pour vous une solution.
Ce message s'affiche également pour nos visiteurs qui tardent à s'inscrire...!
En attendant, bonne navigation à tous.....!
CHEMIN DE MEMOIRE DES PARACHUTISTES
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
Pourquoi le dernier Nord 2501 a survolé la Côte d’Emeraude
Auteur
Message
PTS Pro !
Sujet: Pourquoi le dernier Nord 2501 a survolé la Côte d’Emeraude Ven 13 Oct 2023 - 18:12
Pourquoi le dernier Nord 2501 a survolé la Côte d’Emeraude Avion mythique, classé Monument historique, le Nord 2501 n° 105 est connu sous le nom de Noratlas. Samedi 30 septembre, il a embarqué plus de cent parachutistes venus de nombreux pays, pour sauter au-dessus du Mont-Saint-Michel, afin de fêter leur saint patron.
Embarquement immédiat pour une bordée de parachutistes. | OUEST-FRANCE
Ouest-France Publié le 02/10/2023 à 15h02
L’aéroport a vécu au rythme des cinq rotations bourdonnantes. Samedi, la fièvre était sur le tarmac, autour d’un avion conçu et fabriqué en France et dont il ne reste qu’un seul exemplaire. « Il a été revendu par l’Armée de l’air à l’association Le Noratlas de Provence, dont les bénévoles ont passé 25 000 heures pour le remettre en état », explique Xavier Cambol, ancien parachutiste militaire.
Une Saint-Michel internationale
Bichonné avec beaucoup de soins, le bimoteur tourne comme une horloge et continue de noircir les pages d’une incroyable histoire qui a débuté en 1947. Nouvel épisode, ce samedi, pour des passionnés, anciens militaires ou civils, venus de partout. Outre les Français, des Anglais, Espagnols, Hollandais, Luxembourgeois, Belges, et même un Nigérian, ont choisi de sauter ensemble. « Voir Le Mont-Saint-Michel du ciel, suspendu à un parachute, c’est tout simplement un fantastique privilège. » Un aumônier américain, Aaron Koeep, qui a choisi d’exercer son ministère en France pour quelques années, est même présent. « Mon grand-père était observateur dans l’armée de l’air durant la Première Guerre mondiale. Il a très bien connu la ville du Havre. » Lire aussi : https://www.ouest-france.fr/bretagne/monterblanc-56250/monterblanc-le-dernier-tour-de-piste-pour-le-transall-c-160-282f454a-e261-11ec-b656-4b161e95378c
L’infirmière parachutiste
Pour certains, c’était une première. « Avec beaucoup plus d’émotion que d’appréhension. » Khadija, l’une des deux femmes du jour, infirmière, sautera avec son mari, Jean-Philippe. « Je pratique le parachutisme depuis 2017, se souvient la spécialiste des soins, qui use parfois de la trousse à pansements. Juste pour quelques bobos sans gravité. Histoire de rendre service et de bien m’intégrer à l’équipe. »
En chute libre
Il y a aussi un groupe de 27 mordus de descentes vertigineuses. « Nous sautons à une altitude de 3 500 m et ouvrons le parachute après 2 500 m de chute libre. » Cinquante secondes d’ivresse pour les bolides. « Les autres sont lâchés à partir de 500 m », tempère Jean-Claude Billebault, qui compte plusieurs Mont-Saint-Michel à son palmarès. Harnaché américain, regrette-t-il. « Un matériel onéreux. Nous ne pouvons malheureusement pas profiter des surplus déclassés de l’armée française. »
Tous ont un point commun : le plaisir de prendre l’air à bord du légendaire Noratlas. « C’est formidable, lorsque l’on connaît les missions auxquelles ont été engagés tant de parachutistes, pour sauter sur une multitude de théâtres d’opérations. » Chacun participera aux frais engagés pour ce rassemblement. « Une contribution incontournable, au regard du travail effectué par les bénévoles. »
FOUQUET66, le 6, Michel CAVET, claude.d, jean paul BELIN et bernardbruno aiment ce message
Pourquoi le dernier Nord 2501 a survolé la Côte d’Emeraude