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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
Sujet: Billet d'humeur de l'ASAF du 8 novembre 2024 Lun 18 Nov 2024 - 15:03
En démocratie, donc en France, tout le monde a le droit de s’exprimer et de faire part de ses opinions. Encore faudrait-il qu’elles soient valablement étayées et émises par des associations relativement objectives ou des personnalités au-dessus de tout soupçon.
Dans le cas présent, il s’agit d’un mouvement d’humeur émis par des associations de gauche voire d’extrême-gauche et de personnes de même tendance et bien peu connues du grand public d’ailleurs et qui s’insurgent contre l’érection de la statue du général Marcel Bigeard à Toul, sa ville natale. Une affaire amorcée par une pétition lancée le 10 mars 2024 et relancée par une manifestation le 25 mai dernier demandant d’interdire la présence de cette statue sur le domaine public.
En effet, la statue ayant été financée exclusivement par des fonds privés, les contestataires n’avaient plus d’argument à critiquer autre que le lieu d’édification. C’est bien léger comme argumentaire.
Mais que reprochent-ils donc au Général Marcel Bigeard ?
D’être un fils du peuple qui a commencé comme soldat de seconde classe et qui a terminé Général de Corps d’Armée ?
D’avoir été prisonnier des Allemands en 1940 et de s’être évadé pour entrer dans la Résistance ? D’avoir effectué 3 séjours en Indochine avant d’être fait prisonnier par le Vietminh après Dien Bien Phu ?
D’avoir fait deux séjours en Algérie où il a été gravement blessé deux fois ? Cela n’a pas empêché Bigeard de reconnaître le courage de ses adversaires qu’ils appartiennent au Vietminh ou au FLN. En particulier lorsqu’il évoquait le commandant Azzedine, en disant « On ne se déshonore pas en rendant hommage à l’adversaire ».
Un parcours militaire aussi exceptionnel au service de la France lui a valu d’être décoré de la plaque de Grand-Croix de la Légion d’Honneur par le Président Coty, le 14 juillet 1956.
Puis comme si cela ne suffisait pas, il a servi sa Patrie en s’engageant en politique. Nommé Secrétaire d’État à la Défense par Valéry Giscard d’Estaing, il a été ensuite deux fois élu député de la 5ème circonscription de Meurthe et Moselle chaque fois contre des adversaires de gauche.
Après son décès, pour lui rendre hommage, la 50ième promotion de l’École Militaire Interarmes (EMIA) a pris comme nom de baptême « Général Bigeard ».
Que reprochent donc à Marcel Bigeard ces associations plus ou moins confidentielles et ces soi-disant personnalités irréprochables.
Une accusation de torture en Algérie que le général Bigeard a toujours nié ?
Si cela avait été le cas, aurait-il été nommé au Gouvernement de Giscard d’Estaing ? Aurait-il été élu député comme ces deux députés LFI-NUPES qui le critiquent et dont pourtant l’un des leurs est fiché S ? Pour le bien et la grandeur de la France, naturellement !
Pour critiquer de tels états de service, il faut en avoir quelques-uns soi-même pour être crédible. Sous peine d’être ridicule.
Cette contestation n’est donc que politique, simplement pour permettre aux contestataires d’exister et de critiquer les valeurs de la République en général et de l’Armée en particulier.
Ce n’est pas nouveau.
Déjà en 1978, Mr Yvon Bourges, Ministre de la Défense, a obligé le Colonel Érulin alors en pleine opération à Kolwezi, en Afrique australe avec le 2ème REP, de recevoir Alain Ménargues, journaliste à France Inter, pour répondre à la question de tortures qu’il aurait infligées en Algérie 15 années auparavant. Tout ceci sous la pression d’une gauche qui voulait décrédibiliser une opération de sauvetage en vies humaines réussie, mais lancée par un gouvernement de droite. Cette opération « Bonite » aura coûté quand même la vie à 5 légionnaires, mais pour sauver plusieurs centaines d’autres vies.
Hélas certains contestataires n’ont que faire de la vérité.
On peut alors leur conseiller d’aller voir la stèle en marbre de 3,65m de haut et pesant 8 tonnes avec le profil sculpté du général Bigeard érigée devant la caserne Laperrine à Carcassonne. Et s’ils ont le courage d’aller frapper au poste de garde du 3ème RPIMa, son ancien régiment, pour faire valoir leur point de vue, nul doute qu’ils y recevront le meilleur accueil !
En conclusion, s’il y a bien un domaine où les Armées en général et Marcel Bigeard en particulier n’ont pas de leçon à recevoir des politiques et autres affidés, c’est bien celui de la morale.
Colonel (h) Christian Châtillon Délégué National de l'ASAF
FOUQUET66, FTS, claude.d, RJM et marienneau jean-michel aiment ce message
Pérignon Expert
Sujet: Re: Billet d'humeur de l'ASAF du 8 novembre 2024 Lun 18 Nov 2024 - 20:28
claude millet a écrit:
Déjà en 1978, Mr Yvon Bourges, Ministre de la Défense, a obligé le Colonel Érulin alors en pleine opération à Kolwezi, en Afrique australe avec le 2ème REP, de recevoir Alain Ménargues, journaliste à France Inter, pour répondre à la question de tortures qu’il aurait infligées en Algérie 15 années auparavant. Tout ceci sous la pression d’une gauche qui voulait décrédibiliser une opération de sauvetage en vies humaines réussie, mais lancée par un gouvernement de droite. Cette opération « Bonite » aura coûté quand même la vie à 5 légionnaires, mais pour sauver plusieurs centaines d’autres vies. Hélas certains contestataires n’ont que faire de la vérité.
Citation :
Comment les communistes ont sali la mémoire du colonel Erulin, héros de Kolwezi Par Étienne de Montety
Le colonel Philippe Erulin (au centre), en mai 1978, lors de la libération de la ville de Kolwezi (Zaïre)
RÉCIT - Le colonel Philippe Erulin commandait l’opération victorieuse du 2e REP sur Kolwezi en 1978. Aussitôt, de graves accusations relatives à la guerre d’Algérie furent lancées contre lui par la presse communiste.
Le fait d’armes est entré dans les manuels d’histoire. Le 19 mai 1978, le 2e régiment étranger de parachutistes sautait sur Kolwezi. Jusqu’à cette date, personne ne pouvait situer sur une carte cette ville du sud-est du Zaïre. C’était pourtant un des points chauds du chaudron africain : cette ville minière venait d’être prise par des rebelles katangais soutenus par des instructeurs cubains et angolais et par le Front de libération du Congo.
Il s’agissait à la fois d’affaiblir le président Mobutu et de s’assurer le contrôle d’une région aux ressources naturelles inestimables. Des exactions furent commises notamment vis-à-vis des Européens présents en nombre (environ 3000). L’intervention de 700 légionnaires sur la ville permet sa libération et assure le sauvetage des expatriés (belges et français pour la plupart). Les évacuations peuvent avoir lieu. La Légion déplore quelques blessés et la mort de cinq soldats.
Dans ses mémoires, le président Giscard d’Estaing confiera son émotion : « Est-ce que je pleure ? Je n’en sais rien. Mais cela y ressemble. » Il avait donné l’ordre d’intervenir rapidement, malgré les réticences et les oppositions, malgré la pression des Belges qui redoutaient de se faire doubler dans un pays qui avait été jadis leur pré carré. Il eut très vite le sentiment de prendre une des décisions les plus cruciales de son septennat.
Aujourd’hui Kolwezi tient une place à part dans le cœur des Français, quelque part du côté d’Arcole ou des taxis de la Marne : un raid éclair où la rapidité et le courage prirent le dessus sur la raison et le calcul. La furia francese. Les imprévus et la guigne n’avaient pourtant pas manqué. Avions de transport en panne, égarement des pilotes zaïrois, incompatibilité des gaines pour parachuter le matériel. Mais la cohésion du 2e REP, son professionnalisme, une part de chance ou une bonne étoile firent de cette opération commando une pleine réussite. Le général Méry, chef d’état-major des armées, avait balayé d’un mot les objections et les craintes du ministre Louis de Guiringaud : « Il n’y a pas d’exemple que des parachutistes lâchés au-dessus d’une ville n’aient pas atteint le sol. »
Son chef d’expédition s’appelait Philippe Erulin. Dans la foulée, il fut fait commandeur de la Légion d’honneur et semblait promis à un glorieux avenir. Dans sa notation de février 1978, l’inspecteur de l’infanterie, le général Henry, écrivait : « Officier de très grande valeur au potentiel élevé… Il doit, sauf accident imprévisible, atteindre les plus hauts sommets de la hiérarchie. » Et pourtant, près de cinquante ans après Kolwezi, aucune promotion de Saint-Cyr ne porte son nom ; au contraire, dans des livres, des articles, des sites, celui-ci est entaché d’un mot : torture. Un seul mot qui, même non étayé, suffit à détruire une réputation bien établie. À Toul, il y a peu, l’inauguration d’une statue de Bigeard, l’enfant de la ville, a suscité la polémique.
Aujourd’hui, Arnaud Erulin, le fils du colonel Erulin, publie un livre (1). Quarante-cinq ans après les faits, il s’interroge sur cette accusation. Quelles sont les preuves de sa participation à cette effroyable pratique ? Par quel mécanisme infernal le nom d’Erulin est-il systématiquement mêlé à elle, au point de brouiller le prestige du vainqueur de Kolwezi ? Son enquête est solide, documentée, les faits sont là, les archives, les lettres. Son propos est serein, assuré, celui d’un homme de bonne foi.
L’attaque repose sur un livre, et non des moindres : La Question, paru en 1958 aux Éditions de Minuit. Son auteur est Henri Alleg, journaliste communiste, engagé aux côtés du FLN et entré en clandestinité. Quelques mois plus tôt, il a été arrêté par les soldats de la 10e division parachutiste et livré par les hommes du commandant Aussaresses. Parmi ses bourreaux, il cite Erulin, alors jeune lieutenant au 1er RCP.
Ce qui est avéré : celui-ci participa bien à des missions de police confiées par le gouvernement de Guy Mollet à l’armée française. Il prit part à l’arrestation de Maurice Audin, qui fut suivie de celle d’Henri Alleg. Pour cette opération, menée à visage découvert, l’officier déclina légalement son identité auprès des deux hommes. Transféré à d’autres services, Alleg fut par la suite inculpé d’« atteinte à la sûreté extérieure de l’État ».
Pourtant, Erulin est bien cité dans La Question parmi ceux qui participèrent aux séances de torture qu’endura Alleg. À l’inverse, Paul Aussaresses, qui dirigeait le groupe chargé des basses besognes à Alger, n’est pas nommé.
Depuis près d’un demi-siècle, Arnaud Erulin butte sur des zones d’ombre : pourquoi la parole accusatrice d’Henri Alleg est-elle reçue sans vérification ? Le propos d’une victime de la torture en Algérie ne peut-il pas être discuté, soupesé, réfuté, surtout s’il n’est pas confirmé par d’autres témoignages dignes de foi pour le valider ? Et pourquoi cette terrible accusation est-elle sortie au lendemain même du raid éclatant sur Kolwezi ?
23 mai 1978. Les parachutistes français n’ont pas encore achevé leur mission au Zaïre que la presse communiste ouvre le feu : à l’émission « Les Dossiers de l’écran », René Andrieu, rédacteur en chef de L’Humanité, accuse. Sa source : Henri Alleg, secrétaire général du quotidien du PCF. Rouge, le journal de la Ligue communiste révolutionnaire, lui emboîte le pas : « Le chef des paras au Zaïre est un maquereau et un tortionnaire. » Et Libération : « La France vient-elle de confier sa nouvelle mission civilisatrice à un tortionnaire, un fasciste et un proxénète ? »
Maquereau, proxénète ? Ces aimables qualificatifs font allusion à une affaire de prostitution survenue au 2e REP deux mois plus tôt, dans laquelle le colonel Erulin, en tant que chef de corps, a été entendu comme témoin par un juge. La presse s’en était fait l’écho, mais sans qu’à l’époque il ne fût fait mention du passé du chef de corps en Algérie : il faudra l’opération sur Kolwezi pour que la machine à accuser se mette subitement en branle.
D’ailleurs, depuis les accords d’Évian, la carrière et l’avancement de Philippe Erulin se sont toujours déroulés sans encombre et sans contestation : en 1976, il a reçu le commandement du 2e étranger de parachutistes. À la différence des adjoints d’Aussaresses, compromis avec lui (les lieutenants Charbonnier et Garcet), dont les promotions ou décorations ont été régulièrement contestées par les associations militant pour la dénonciation des faits de torture en Algérie.
Après cette bordée d’accusations, le colonel Erulin reçoit un message des autorités militaires : « Vous suggère si journalistes vous en parlent. Adopter l’attitude suivante. Vous êtes un soldat dont mission consiste actuellement sauver vie ressortissants. Non répondre à délégation. » L’officier obtempère.
L’armée et le ministre de la Défense se réfugient derrière la loi d’amnistie et des autorités politiques qui interdit qu’il soit fait mention d’infractions relatives à la guerre en Algérie. Interrogé sur cette affaire, Valéry Giscard d’Estaing esquive, énigmatique : « Le Président de la République ne connaît que les décisions de justice. »
Les reportages exaltant le courage et l’efficacité des légionnaires français à Kolwezi, la citation du régiment à l’ordre de l’armée, les Valeur militaire décernées aux acteurs de l’opération Bonite n’y feront rien, plus rien ne pourra arrêter la rumeur. Acte I : le héros de Kolwezi a torturé. Acte II : cette intervention militaire ne constitue-t-elle pas de nouveaux agissements abusifs de la France en Afrique ?
Le 7 juin 1978, une bombe explose au domicile de Calvi de la famille Erulin, où dorment sa femme et son fils. Le FLNC justifie cet acte criminel, dénonçant « la présence sur le sol national corse du colonel Erulin et (protestant) contre l’intervention colonialiste du 2e REP ». Lors d’une prise d’armes à Bastia, la sonnerie aux morts est troublée par les cris de manifestants : « Erulin, assassin ! »
Giscard renonce à faire défiler le régiment aux Champs-Élysées le 14 juillet 1978. Dans Paris Match, Jean Lartéguy raille : « Pour éviter les remous, on n’autorisa que deux compagnies qui promenèrent au pas cadencé leurs bérets verts sur le port de Calvi. »
Le monde militaire et politique se tait et courbe l’échine. Des messages privés parviennent à l’accusé et à son épouse, contrastant avec le silence officiel. Interdiction est faite au colonel de se prêter à une interview proposée par le quotidien Le Monde pour lui permettre de se défendre.
Le 26 septembre 1979, le colonel Philippe Erulin, alors en poste à l’état-major de l’armée de terre (il a rendu son commandement quelques semaines après Kolwezi), s’écroule durant un footing ; il est victime d’une rupture d’anévrisme.
En droit, le décès éteint l’action. Pas à Libération, qui écrit alors pour toute oraison funèbre : « Malgré les soins reçus à l’hôpital du Val, son cœur n’est pas reparti. Les médecins disposent pourtant d’une manœuvre ultime dans un cas semblable : ils branchent deux électrodes sur la poitrine du malade et font passer une forte décharge électrique. Une technique que connaissait bien Erulin lorsqu’il était jeune lieutenant pendant la guerre d’Algérie, pas comme officier médecin mais comme tortionnaire. »
La famille attaquera, fera condamner le quotidien, mais, principe de la calomnie, la tache restera, ici dans un article, là dans une notice sur internet. Jamais sourcée, hors la référence à La Question. Elle est terrible pour sa famille.
Mais elle pose une autre question. Pourquoi un acharnement aussi systématique sur un officier, à l’époque simple lieutenant et petit rouage de la bataille d’Alger ? Cache-t-il autre chose ?
En 1978, la guerre froide est une réalité internationale. Elle se mène partout. L’opération Bonite n’est pas seulement une opération humanitaire destinée à tirer les Européens des griffes des rebelles katangais. C’est un joli coup stratégique dans le jeu de « kriegsspiel » qui oppose le monde libre et le monde communiste en Afrique. En Angola, depuis l’indépendance de 1975, la guerre civile oppose le régime marxiste-léniniste dirigé par Agostinho Neto aux forces de l’Unita de Jonas Savimbi épaulées par la CIA. En Éthiopie, Mengistu vient d’installer un pouvoir largement favorable à l’idéologie communiste. Faire tomber Mobutu, établir au Katanga un régime favorable à l’URSS, c’est accroître l’influence de celle-ci en Afrique centrale.
En Europe les partis communistes, encore puissants dans les urnes, et surtout dans les associations et les journaux, sont les caisses de résonance des manœuvres de défense des intérêts du « grand frère ». La victoire de Kolweziest un caillou dans le projet expansionniste soviétique. La stratégie est donc simple : accuser la France de colonialisme, disqualifier ses soldats et leurs actions. Au lendemain de l’opération, l’agence Tass, à Moscou, dénonce aussitôt « la terreur massive sur la population locale qui rappelle les pires époques coloniales ». L’Humanité lui emboîte naturellement le pas.
Trois mois après la mort subite du colonel Erulin, l’Union soviétique envahissait l’Afghanistan. Conformément à la position du PCF, L’Humanité soutenait et justifiait cette intervention militaire. L’envoyé spécial du quotidien communiste français à Kaboul écrivait des reportages titrés : « Kaboul n’est ni encerclée ni quadrillée ». Il déclarera : « Les révolutionnaires du monde entier se réjouissent de ce que les Soviétiques aident les Afghans. (…) Ceux qu’on appelle faussement des patriotes afghans sont des contre-révolutionnaires. » Il s’appelait Henri Alleg.
(1) Arnaud Erulin, L’Honneur d’un colonel, Éditions Pierre de Taillac, 256 p., 22, 90 €.
FOUQUET66, le 6, Michel CAVET, La cam et claude.d aiment ce message
claude millet Fondateur
Sujet: Re: Billet d'humeur de l'ASAF du 8 novembre 2024 Mar 19 Nov 2024 - 22:57
Citation :
Déjà en 1978, Mr Yvon Bourges, Ministre de la Défense, a obligé le Colonel Érulin alors en pleine opération à Kolwezi, en Afrique australe avec le 2ème REP, de recevoir Alain Ménargues, journaliste à France Inter, pour répondre à la question de tortures qu’il aurait infligées en Algérie 15 années auparavant.
C'est une hérésie !
Ne pas oublier: Yvon Bourges et Alain Ménargues
Mais notre héros:
Comment les communistes ont sali la mémoire du colonel Erulin, héros de Kolwezi Par Étienne de Montety
Le colonel Philippe Erulin (au centre), en mai 1978, lors de la libération de la ville de Kolwezi (Zaïre)
RÉCIT - Le colonel Philippe Erulin commandait l’opération victorieuse du 2e REP sur Kolwezi en 1978. Aussitôt, de graves accusations relatives à la guerre d’Algérie furent lancées contre lui par la presse communiste.
Merci Alain!
FOUQUET66, le 6, Michel CAVET et claude.d aiment ce message
Michel CAVET Pro !
Sujet: Re: Billet d'humeur de l'ASAF du 8 novembre 2024 Hier à 9:29
Mais c'est toujours et de plus en plus leur axe de polémique ! Salir, salir, pour détourner les yeux de l'opinion publique de leur crotte au c....................l. Ils y étaient pour voir ? Et si on leur parlait de Georges Boudarel à ces gentils cocos ?
claude millet, FOUQUET66, claude.d et marienneau jean-michel aiment ce message
claude millet Fondateur
Sujet: Re: Billet d'humeur de l'ASAF du 8 novembre 2024 Hier à 11:32
Mais j'ai en plus un coté sensible pour cette "Jeep". Nostalgie quand tu tiens...! Elle a marqué ma fin de période militaire après ma réussite au PSO "major" avec le lieutenant Pouillard. C'était un bon!.
1er RCP, Février 1968, Claude Millet chef de patrouille, en manœuvre en forêt de Lourdes...! Casquette Bigeard sur la tête, mais casque lourd avec avec lunette sur le capot.
le 6 Expert
Sujet: Re: Billet d'humeur de l'ASAF du 8 novembre 2024 Hier à 18:47
Une chose est sure, "cette excursion au frais du contribuable" n'était pas en Hollande ...
Nos Pyrénées et leur doux reliefs ...
En tous les cas, beau souvenir !
marienneau jean-michel enregistré
Sujet: Re: Billet d'humeur de l'ASAF du 8 novembre 2024 Hier à 22:05
Bizarre la casquette Bigeard de 68, pas la même qu'en 61 !