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« ... Le devoir de mémoire incombe à chacun...rendre inoubliable. Ceux qui sont morts pour que nous vivions ont des droits inaliénables. Laisser la mémoire se transformer en histoire est insuffisant. Le devoir de mémoire permet de devenir un témoin... »
Véhicule tout-terrain doté d'une aile de parapente, Pegase a séduit l'armée française.
3 participants
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claude millet Fondateur
Sujet: Véhicule tout-terrain doté d'une aile de parapente, Pegase a séduit l'armée française. Sam 22 Fév 2014 - 20:46
La voiture volante de la PME Vaylon
Véhicule tout-terrain doté d'une aile de parapente, Pegase a séduit l'armée française. Made in Alsace, cette voiture volante devrait être commercialisée, y compris pour le grand public, courant 2015.
Par Marianne Rey pour LEntreprise.com, publié le 20/02/2014 à 17:51
Mi-voiture, mi-aéronef, Pegase supporte une charge maximale de 250 kg. Avec ce bugy convertible, la start-up Vaylon a réussi a séduire l'Armée Française. La DGA a d'ailleurs participé au financement du projet.
Vaylon
30 à 50 engins, capables de sillonner des terres hostiles et de s'élever dans les airs pour surmonter les obstacles (falaises, fleuves...). C'est ce que la Direction générale de l'armement (DGA) pourrait commander à la start-up Vaylon, si les tests qu'elle effectue actuellement avec Pegase, son véhicule tout-terrain capable de se transformer en aéronef grâce à une hélice et une aile volante, lui donnaient satisfaction.
Une commande qui sonnerait un démarrage en fanfare pour l'entreprise alsacienne fondée par Jérôme Dauffy. " C'est en passant mon brevet de pilote paramoteur que l'idée m'est venue de créer une voiture volante. Je voulais concevoir un premier prototype qui me permettrait de faire le tour du monde, sur les traces de Phileas Fogg, le héros de Jules Verne. "
Du rêve d'aventurier au fournisseur de l'armée, c'est peut dire que la trajectoire de l'entrepreneur a dévié.
En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/business-b2b/video-la-voiture-volante-de-la-pme-vaylon_46129.html#x6uRpWLAGT1LKeW3.99
Formule 1 des airs Entre 2008 et 2010, incubé au sein de Semia et lauréat du Réseau Entreprendre, il se rapproche de l'Ipsa, pour travailler avec des étudiants de cette école d'ingénieurs en aéronautique. Cette collaboration explique qu'aujourd'hui Vaylon soit en même temps une Jeune entreprise innovante (JEI) et une Jeune entreprise universitaire (JEU). Il convainc ensuite la société Tork Ingineering, " équipe technique d'Alain Prost sur le trophée Andros ", de s'associer avec lui. " Ce partenariat représentait beaucoup à mes yeux car, non seulement Tork maîtrisait la conception de véhicules en petite et moyenne série, mais l'entreprise avait aussi l'expérience de la compétition. Or, ce que je cherchais à concevoir, c'était en quelque sorte une petite Formule 1 des airs ". Incident de parcours Après avoir dû faire face à de multiples expertises pour s'assurer de la faisabilité de son futur produit, Vaylon obtient enfin fin 2011 les financements lui assurant d'aller au moins jusqu'au prototypage, étape qui nécessite environ 800 000 euros. Il récupère ainsi 60 000 euros de la DGA sous forme d'avance remboursable, et une subvention d'un montant identique de la part d'Oséo (aujourd'hui Bpifrance). Le consortium entre Vaylon et Tork peut enfin se mettre en place. Et c'est ce partenaire qui doit apporter le reste des fonds nécessaires. " Mais Tork a fait faillite, raconte Jérôme Dauffy. Cela nous a fait perdre un an dans nos développements. Nous avons fini par nous rapprocher, en mai 2013, de Sera Ingenierie, une société spécialisée dans la conception de véhicules spéciaux et travaillant déjà avec la DGA. " Marchés pro en priorité C'est au forum DGA innovation du 21 novembre dernier que le prototype de Pegase a été dévoilé. Devant servir à valider les résultats et performances du concept, ce prototype doit ensuite conduire aux pré-séries, qui permettront, elles, de travailler davantage sur les problématiques de gain de poids et de design. Objectif : une commercialisation à partir du second semestre 2015. Outre la Défense, le marché des applications professionnelles sera particulièrement visé. On peut imaginer Pegase servir dans le domaine de la sécurité civile, dans la surveillance, dans le tourisme, dans la gestion des parcs nationaux... Son dirigeant envisage même de vendre l'engin au grand public. " Mais ce sera la cerise sur le gâteau ", tempère-t-il. Avec un prix de vente sûrement légèrement inférieur à 100 000 euros, difficile, en effet de penser à séduire en masse le particulier. Décollage en moins de cent mètres Reste que le prix de la bête, justement, reste pour les pros relativement raisonnable, selon le PDG de Vaylon. "C'est vraiment ce qui séduit nos interlocuteurs pour l'instant, affirme-t-il. Nous proposerions un coût d'utilisation entre 20 et 50 euros de l'heure. Pour comparer, un hélicoptère, c'est 2000 euros l'heure de vol." Parmi les autres atouts de cette voiture volante, sa capacité à s'affranchir des contraintes. " Le véhicule est homologué au niveau européen, comme un quadricycle lourd. Cela signifie qu'il peut rouler sur toutes les routes d'Europe, jusqu'à 100 km/heure. Pour la partie aérienne, Pégase est considéré comme un ULM paramoteur; Il peut donc décoller partout avec l'autorisation du propriétaire du terrain. " L'objectif final est de réussir à lui faire prendre son envol sur moins de cent mètres, idéalement cinquante. " C'est l'avantage de l'aile parapente. Une voilure souple ne prend pas beaucoup de place, elle permet de décoller et atterrir sur de très courtes distances et de s'affranchir des aérodromes. Un concept qui nous distingue donc des " avions roulants ", développés ailleurs dans le monde , comme l'Aeromobil en Slovaquie, qui a besoin de 500 mètres de piste pour décoller. " Et question sécurité ? Pas de problème. Pegase est équipée... d'un parachute !
En savoir plus sur http://lentreprise.lexpress.fr/business-b2b/video-la-voiture-volante-de-la-pme-vaylon_46129.html#x6uRpWLAGT1LKeW3.99 Source lentreprise-lexpress
Kéo Expert
Sujet: Re: Véhicule tout-terrain doté d'une aile de parapente, Pegase a séduit l'armée française. Sam 22 Fév 2014 - 23:04
Super ce véhicule!
Camp d'Idron Pro !
Sujet: Re: Véhicule tout-terrain doté d'une aile de parapente, Pegase a séduit l'armée française. Lun 24 Fév 2014 - 12:37
La presse réagit enfin:
Une voiture volante française pourrait être commercialisée d'ici 2015
Home ECONOMIE Entreprises
Par Caroline Piquet
Mis à jour le 21/02/2014 à 13:27
Publié le 21/02/2014 à 07:15
VIDÉO - Une entreprise française travaille sur un prototype de buggy volant baptisé Pégase. Prévu pour voler jusqu'à 3000 mètres d'altitude, le véhicule intéresse beaucoup l'armée française qui a déjà investi près de 60.000 euros dans ce projet.
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Ce prototype pourrait être la première voiture volante commercialisée en Europe. Créé par l'entreprise strasbourgeoise Vaylon, cet engin est la combinaison d'un véhicule tout terrain et d'un ULM. Ce buggy équipé d'une voile de 38 m² et d'un moteur à hélices a seulement besoin d'une centaine de mètres pour décoller et atterrir. Une fois dans les airs, l'engin baptisé Pégase, est capable de voler jusqu'à 3000 mètres d'altitude, à une vitesse de 60-80 km/h pendant environ trois heures. L'appareil, prévu pour rouler au sans-plomb 98, est aussi habilité à circuler au sol et peut atteindre les 100 km/h. «L'objectif est de pouvoir se déplacer rapidement sur terre ou dans les airs, de manière autonome et en toutes circonstances», explique Jérôme Dauffy qui travaille sur ce projet depuis 2008. Ce passionné d'aviation a travaillé avec des ingénieurs d'une école d'aéronautique et plusieurs entreprises dans le secteur de la compétition automobile et des véhicules spéciaux (SERA, Tork Engineering et Oreca Moteurs). Prix de vente: 100.000 euros Pour l'heure, ce véhicule tout terrain est encore à l'état de prototype. Le premier vol est prévu pour début mars. Si les tests sont concluants, l'entreprise qui a récemment rejoint un incubateur aéronautique parisien devra plancher sur une stratégie de commercialisation. Enfin, l'appareil devra répondre aux normes européennes et obtenir une double homologation pour rouler et voler en toute sécurité. Sera-t-il alors possible de survoler les bouchons aux heures de pointe? «Non, répond Jérôme Dauffy. Le Pégase devra répondre aux normes de l'ULM qui n'est pas autorisé à voler à proximité des villes. Mais l'objectif est de pouvoir se déplacer presque partout dans le monde».
Un autre défi attend la petite start-up: trouver une clientèle. Jérôme Dauffy espère commercialiser son engin dans le courant de l'année 2015. Prix de vente? 100.000 euros, le coût d'un ULM. «C'est sûr que Pégase s'adresse à une clientèle attirée par des produits haut de gamme», reconnaît son inventeur. Autre contrainte: le conducteur devra également être titulaire du brevet pilote paramoteur qui nécessite une vingtaine d'heures de vol. «Mais, il est très facile à obtenir», assure Jérôme Dauffy qui espère aussi séduire la sécurité civile, les ONG et bien d'autres professionnels encore. En attendant, l'entreprise strasbourgeoise peut compter sur un futur client: l'armée. Dans le cadre de son programme de soutien aux PME innovantes, la Direction générale de l'armement (DGA) a déjà investi 60.000 euros dans ce projet et commandé un premier prototype pour effectuer des essais technico-opérationnels d'ici la fin de l'année. «Moins cher et plus discret qu'un hélicoptère, Pégase nous permettrait de mener des opérations de reconnaissance, mais aussi d'intervenir sur des terrains accidentés ou difficilement accessibles, explique un porte-parole de la DGA. Par exemple, il pourrait nous permettre de traverser un fleuve alors que des infrastructures ont été détruites». 64 PME soutenues par l'armée en 2013 Un microdrone qui roule et grimpe aux murs, une caméra qui voit en couleur aussi bien le jour que la nuit, une boussole qui se fixe sur l'abdomen pour donner discrètement ses informations de manière tactile... La DGA soutient des PME innovantes depuis 2009. Pour être sélectionnées, elles doivent travailler sur des projets ayant des applications à la fois militaires et civiles. «Ce dispositif permet à ces petites entreprises d'avoir une certaine visibilité et de pouvoir les aider à concrétiser un projet qu'elles n'auraient peut-être pas pu financer», souligne le porte-parole qui déclare que la DGA a financé 64 projet à hauteur de 40 millions d'euros en 2013.
source "Le Figaro"
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