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| BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Jeu 17 Juil 2008 - 22:14 | |
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Dernière édition par paracolo le Mar 9 Déc 2008 - 15:57, édité 2 fois |
| | | claude millet Fondateur
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 19 Juil 2008 - 0:31 | |
| - paracolo a écrit:
Marcel
Beau parcours pour un antimilitariste, me direz vous. Oui certes, mais alors, pourquoi nous parler de lui? Le fait d’avoir été parachuté, n’en fait pas un parachutiste…
C’est exact, ce n’est pas un parachutiste, pas encore, à ce moment du récit je me rends compte que j’ai oublié de vous préciser le patronyme de Marcel.
En fait, le petit saute ruisseau de la société générale, s’appelle Marcel…Bigeard.
C’est à présent que son destin l'attend. Il aurait pu comme beaucoup d’autres se faire démobiliser. Mais non, il veut servir…
Le destin...
L’époque il le dit : « nous vivions les plus belles années de notre vie. Les plus belles parce que les plus dures. Elles étaient aussi les années les plus amicales, les plus orgueilleuses, et les plus solitaires :
Les plus amicales parce que nous étions, à la vie,à la mort, entre camarades ;
Les plus orgueilleuses parce que jamais autant nous n'aurions la fierté de notre tenue et de notre uniforme.
Les plus solitaires enfin, parce que nous menions en des terres lointaines un combat d'idéal, aussi ignoré de la métropole que celui des Croisés de la première croisade, il y a neuf cents ans, quand le moine Bruno, mon saint patron à la guerre, fondait l'ordre des Chartreux.
Oui, les camarades parachutistes, les solitaires parachutistes, les orgueilleux parachutistes étaient alors portés par un destin semblable à celui des Croisés ou à celui des moines, des moines guerriers, des Templiers. » les plus belles , les plus amicles, les plus orgueuilleuses et les plus solitaires
16 mars 54 "Béatrice et Gabrielle deux points d’appui de Diên-Biên-Phu sont tombées" Bigeard et son bataillon sautent dans la cuvette. Ils y resteront jusqu’à la fin des combats.
7 mai 1954, 17h30 la bataille cesse à Diên-Biên-Phu, Allaire à demandé un ordre écrit à Bigeard, qui le lui à remis, Langlais à brûlé son béret rouge et mis un chapeau de brousse, Bigeard en casquette, a roulé autour de sa cheville une carte en nylon du haut Tonkin …
Sur 15000 officiers sous officiers et soldats qui ont constitué la garnison, 2000 morts et autant de disparus auront été dénombrés. Un millier de blessés ont été évacués au début de la bataille, 1100 auront déserté et iront grossir les rangs des 8900 combattants survivants faits prisonniers.
Le 19 août, soit à peine trois mois après la chute de Diên-Biên-Phu, les échanges de prisonniers commencent.
Sur les, exactement, 11 721 prisonniers faits dans la cuvette, 3 290 seulement seront rendus, soit 8 431 morts en captivité.
Et la France n’a dit mot. Mendés France qui a signé la paix à Genève, le 20 juillet, n’a pas eu un mot d’indignation au nom de son gouvernement, personne non plus à la Croix Rouge, si tatillonne d’habitude, surtout à propos des conditions d’incarcération des Viets prisonniers. Les bonnes consciences en métropole, elles aussi, se sont tues…
Bigeard, est du lot des survivants, de retour en France, sur le quai de la gare à Toul, lui , le plus jeune des Colonels de l’armée française - il n’a que 37 ans- devra s’expliquer devant sa mère, La Sophie : « Pourquoi as-tu été fait prisonnier ». Les plus hauts gradés ne lui avaient pas posé la question, par contre sa mère peu impressionnée par sa légion d’honneur et toutes ses décorations, veut qu’il lui rende compte. Il lui faudra de longues explications pour regagner sa confiance.
Etonnantes ces mamans...!
à suivre...
Plus . Belle carrière, merci Paracolo de cette longue biographie dont j'ai repris ou souligné les parties les plus belles | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 19 Juil 2008 - 11:43 | |
| Une belle maniere de remettre les pendules à l'heure. |
| | | BRENEC Pro !
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 19 Juil 2008 - 15:19 | |
| Je reste...sans voix!!! Que c'est beau..... La SUITE!!!!! | |
| | | pascalcvr enregistré
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mar 22 Juil 2008 - 11:28 | |
| Toujours aussi plaisant à lire PARACOLO. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mar 22 Juil 2008 - 22:45 | |
| Citation : Etonnantes ces mamans...!
Oui Paracolo....pour ne pas dire...'' ces petites mères '' |
| | | claude millet Fondateur
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 26 Juil 2008 - 0:29 | |
| Fabrepasc la photo ne se charge plus....merci d'avance | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 26 Juil 2008 - 7:07 | |
| Bizarre,je ne l'ai pas enlevée,je vais remettre cela d'ap lomb. Elle est revenue maintenant???????? |
| | | claude millet Fondateur
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 26 Juil 2008 - 12:16 | |
| Merci Fabrepasc!
Nickel, belle photo, je n'ai pas de réponse sur le lieu...mais on va chercher... | |
| | | Michel Expert
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 26 Juil 2008 - 12:44 | |
| Le coup de gueule de Bigeard Propos recueillis par Bruno Fanucchi
jeudi 03 juillet 2008 | Le Parisien
Après la démission du général Cuche, chef d'état-major de l'armée de terre, l'un de ses brillants aînés, Marcel Bigeard, dit sa colère, ses inquiétudes... et sa confiance à Sarkozy. A sa manière : sans détour et sans fioriture.
A 92 ANS, le général Marcel Bigeard (l'officier le plus décoré de l'armée française) n'a pas perdu son langage direct ni son sens de la formule. Soldat de légende ayant sauté sur Diên Biên Phu, en 1953 et 1954, il évoque la démission spectaculaire du général Cuche et le malaise des armées. Ancien patron du 3 e RCP (régiment de parachutistes coloniaux), dont le 3 e RPIMa (régiment de parachutistes d'infanterie de marine) de Carcassonne est l'héritier direct, il confie sa colère après le drame. Comment avez-vous ressenti la démission du général Cuche ?
Général Bigeard.
Faut le faire ! Les généraux, quand ils ont deux étoiles, ils en veulent trois puis quatre. En principe, on ne démissionne pas comme ça. Je crois qu'il faut un certain courage, d'autant plus qu'il avait un job prévu : gouverneur des Invalides. Je dis : c'est bien. Je salue le panache même si je comprends les deux. Le président de la République a assez de travail, il est débordé, alors une affaire comme ça, ça ne l'arrange pas. A Carcassonne, il est arrivé certainement en colère et leur a dit : « Vous êtes des amateurs. » C'était le mot de trop ! Le général a entendu ça. Il est parti et c'est bien. Mettez-vous à sa place.
Le général Cuche affirme que sa démission « est exclusivement liée aux événements dramatiques survenus à Carcassonne », mais il avait dénoncé dès janvier une « paupérisation globale » des forces terrestres...
Ça, je n'ai pas suivi. Mais vous savez, c'est une période difficile dans tous les domaines. Il fallait réformer. Il a raison, Sarko, tout le monde était endormi. Il met un coup de fouet, mais il faut le faire avec une nation derrière vous. On n'en n'est pas encore là. Refaisons d'abord la France avec un idéal de grandeur.
Les militaires français ont-ils encore les moyens de se battre ?
Vous le savez, il y a réduction des effectifs et des budgets. Mais il y a aussi moins de menaces, c'est un fait. Ce n'est pas les Russes ou les Allemands... Mais, moi, je le dis : nous sommes en guerre. C'est une guerre subversive qui frappe où elle veut, quand elle veut. Ils ont frappé l'Amérique, l'Angleterre, l'Espagne, pourquoi pas demain la France ? L'ennemi, ce sont tous ces mouvements subversifs, dirigés par Al-Qaïda, et qui travaillent dans l'ombre et peuvent décider de descendre Bigeard cette nuit. C'est le terrorisme islamique avec des gens qui ont un idéal et sont prêts à se faire tuer, à tirer sur la foule ou n'importe quoi...
Que pensez-vous de la réforme annoncée par le livre blanc de la défense ?
Vous savez, j'en ai vu des réformes au cours de ma vie ! J'ai 92 ans. J'en ai vu des livres blancs et ce ne sera pas le dernier. Quand on a vécu tout ce que j'ai vécu, tout cela fait mal. Je le dirai dans mon nouveau livre : « Mon dernier round face à la vieillesse ». Ce qui me permettra de sortir d'une façon correcte. On dira : il est mort en donnant un dernier coup de plume !
« On n'ose plus parler de patrie »
Y a-t-il une crise de confiance entre l'armée et le chef des armées, Nicolas Sarkozy ?
Je ne vais pas jusque-là. Vous savez, Sarko, il est tout et commande tout. Je me demande comment il fait et j'admire. Il n'a pas une minute. Je me demande comment son crâne n'éclate pas. Alors, je pense qu'il sait ce qu'il fait. On verra bien et je souhaite qu'il réussisse car son combat, c'est le mien, c'est le vôtre, c'est celui de la France.
Vous avez commandé (en 1955 et 1956 en Algérie) ce qui deviendra le 3e RPIMa. Le drame de Carcassonne, c'est un « coup dur » ?
Même à 92 ans, cela me fout un coup comme si j'étais encore à la tête du régiment. Ça fait mal aux gens de Carcassonne qui aimaient ce régiment et qui ont aujourd'hui des enfants blessés. C'est un drame. C'est un coup très dur pour ce régiment prestigieux qui avait une excellente réputation et qui reste l'un des trois plus beaux régiments de France.
Comment redonner le moral à nos troupes ?
Cela dépend du patron qui prendra ça en main, en disant : « Nous sommes tous dans la merde, voilà où on en est. Il faut redresser le pavillon et parler de patrie. » Car on n'ose plus parler de ça, alors que ça existe toujours les nations. Voyez l'Euro de football. Il nous faut des hommes qui vivent avec leurs coeurs et leurs tripes. Bleu, blanc, rouge pour la France !
Source: http://www.leparisien.fr/home/info/politique/articles/LE-COUP-DE-GUEULE-DE-BIGEARD_298604186 | |
| | | claude millet Fondateur
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Sam 26 Juil 2008 - 15:06 | |
| Je l'avais entendu sur FRANCE-INFO...merci de pour cet article! | |
| | | Michel Expert
| Sujet: Encore un texte de Bruno Jeu 31 Juil 2008 - 12:53 | |
| "A cette époque où, selon mon indicatif radio, je devenais Bruno, je ne savais pas encore que nous vivions les plus belles années de notre vie. Les plus belles parce que les plus dures. Elles étaient aussi les années les plus amicales, les plus orgueilleuses, et les plus solitaires :
Les plus amicales parce que nous étions, à la vie, à la mort, entre camarades ; Les plus orgueilleuses parce que jamais autant nous n'aurions la fierté de notre tenue et de notre uniforme; Les plus solitaires enfin, parce que nous menions en des terres lointaines un combat d'idéal, aussi ignoré de la métropole que celui des Croisés de la première croisade, il y a neuf cents ans, quand le moine Bruno, mon saint patron à la guerre, fondait l'ordre des Chartreux;
Oui, les camarades parachutistes, les solitaires parachutistes, les orgueilleux parachutistes étaient alors portés par un destin semblable à celui des Croisés ou à celui des moines, des moines guerriers, des Templiers.
Et j'imagine que, nonobstant l'armure, les chevaliers du Temple n'auraient pas été mécontents de sauter sur Jérusalem en arrivant du ciel, comme nous allions le faire tant de fois, de la RC 4 à la Plaine des Joncs, et de la Rue sans Joie à Diên-Biên-Phu.
Je crois que c'est en effet l'esprit - du moins un certain esprit, une certaine idée de nous-mêmes - qui nous permettait de nous manifester ainsi, au plus fort des combats. On sait contre quoi, contre qui nous combattions : Contre un monde opposé à celui de l'esprit. Et puis, il y avait en nous autant de secrète vigueur de venir au feu en tombant du ciel qu'en parcourant des lieues à travers la jungle, la rizière ou la montagne. L'esprit nous animait.
L'esprit, d'abord, du dépassement de soi. J'ai vu combien de garçons de vingt ans, ou même de trente, s'agripper à la carlingue et sauter dans l'inconnu mortel alors que, deux ou trois heures auparavant, ils se trouvaient encore à Hanoï dans l'insouciance ou les plaisirs de quelque lieu de détente ! Et j'en ai vu combien marcher sur la piste jusqu'à l'épuisement ou courir à l'assaut jusqu'à la chute ! Je le dis : une telle vigueur physique n'est pas possible sans une ardeur morale. Jogging, certes, mais jogging avant tout du caractère et du courage.
Aller ainsi jusqu'au bout de soi, cela s'appelle l'abnégation, cela s'appelle l'esprit de sacrifice, et cela signifie que l'on défie la mort en combat singulier, la mort qui est autour de nous tous. Je les salue, mes camarades parachutistes qui l'ont rencontrée sans peur. Leur mort est à jamais notre mérite.
L'esprit d'équipe ensuite, l'esprit de camaraderie. On dira peut-être esprit de caste, de clan, de corps. Soit, si cela veut dire que l'on a la volonté d'être les meilleurs et que cela ne vous est pas donné par quelque grâce d'état ou d'uniforme.
Oui, nous osions espérer être les meilleurs, mais les meilleurs parmi nos égaux, nos frères d'arme. Et, s'il y a caste du combat, clan de guerriers, si le parachutiste veut encore être aujourd'hui ce primus inter pares, c'est surtout à l'Indochine que nous le devons. Après la Bretagne ou la Hollande, avant Suez ou Timimoun, et aussi avant Kolwezi, il y eut l'Indochine : That Khé, Tu Lé ou Diên-biên-phu furent les creusets où se forgèrent l'esprit, la geste et la chevalerie parachutistes.
Esprit français enfin. Cet esprit para qui devait jaillir du ciel d'Indochine, comme une corolle, a-t-on remarqué qu'il était particulièrement représentatif de ce que le soldat français a toujours eu de meilleur en comparaison de tous les autres ?
L'astuce et la fougue, l'audace et la furia francese, l'intelligence du combat, le sens du terrain, le flair du danger, le goût de la manœuvre, la souplesse de l'approche, tout cela qui rend le parachutiste français le plus para des aéroportés, là aussi ce primus inter pares parmi nos camarades du monde entier, tout cela naquit de la guerre d'Indochine.
J'ai souvent dit ou écrit, il faut "être et durer" ou encore " faire un pas... encore un pas " et savoir repartir à zéro.
Le vieux soldat que je suis devenu essaie de continuer à servir en puisant certes dans son passé, mais en ayant le regard fixé sur ce que pourrait être demain, et où là comme ailleurs les paras qui furent toute ma vie sauront défendre une liberté qui n'a pas de prix.
Marcel BIGEARD" | |
| | | Michel Expert
| Sujet: Général Marcel Bigeard Mer 1 Oct 2008 - 13:38 | |
| Bigeard au 3 RPIMa en 1967 ( Photos de C.GOBILLOT )
Dernière édition par Michel le Mer 1 Oct 2008 - 13:40, édité 1 fois | |
| | | Michel Expert
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 13:39 | |
| Lors de la coupe comète 1976 deux personnalités face au Drapeau. Le secrétaire d'état Marcel Bigeard (****) et le ***** Valin. Photo "Marcus" | |
| | | Michel Expert
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 13:44 | |
| Bigeard et Dien Bien Phu ( JT 20h - 03/05/2004 )
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 16:15 | |
| Colonel Bigeard venu saluer le drapeau pour le 20ème anniversaire du 1er RCP à Idron juin 1963[img] |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 16:44 | |
| Et oui ce beret qui ne représente rien...! Quel chef... ce fut un plaisir de lui présenter les armes. Merci mon général |
| | | Michel Expert
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 16:52 | |
| Je comprends que ce fut un plaisir pour vous. Par contre, pourquoi ce béret ne représente plus rien ?? Avec cet insigne: Insigne des parachutistes des Troupes de Marine , porté de 1962 à 1974 il me semble. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 16:59 | |
| - Michel a écrit:
- Je comprends que ce fut un plaisir pour vous.
Par contre, pourquoi ce béret ne représente plus rien ??
Avec cet insigne:
Insigne des parachutistes des Troupes de Marine , porté de 1962 à 1974 il me semble. En 63 nous avions brulé ces berets et pourquoi un beret dit d'été encore une connerie des hautes sphères. Il y avait à cette époque une volonté politique de rabaisser les unités parachutistes en supprimant dans un meme temps la tenue camouflée, je l'ai assez mal vécu tout comme mes camarades. |
| | | Michel Expert
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 17:06 | |
| D'accord, et ils ont étés portés jusqu'à quand ?? Il est vrai que celui-ci est plus élégant. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Mer 1 Oct 2008 - 20:59 | |
| Il est bien le petit film. |
| | | sgt8 Pro !
| Sujet: re-general Bigeard Mer 1 Oct 2008 - 21:54 | |
| Ce beret honni par les paras etait porté en tenue d'été. En 1970 il etait encore porté réglementairement,mais dès la sortie du casernement le beret rouge sortait comme par magie. Sgt8 | |
| | | booy Pro !
| Sujet: general marcel Bigeard Ven 3 Oct 2008 - 10:43 | |
| Je me souviens que le Général Bigeard était passé au 9eme RCP ,au GI de ST Sulpice La Pointe ,en 1967, avait demandé à tout les gradés de s'éloigner pour discuter avec nous . Ce geste avait marqué pas mal d'entres nous ,venant d'un officier supérieur de sa trempe amitiés para pierrot (Booy) | |
| | | claude millet Fondateur
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Ven 3 Oct 2008 - 15:22 | |
| Ce p..ain de béret d'été, une punition de De Gaulle envers les paras avec la suppression des tenues cam, suite au putch avril 61....
sgt8 à écrit:mais dès la sortie du casernement le béret rouge sortait comme par magie. oui, mais surtout dans les gares, attention à la prévôté!!!!!
Le béret "fantoche" que tout le monde porte aujourd'hui était interdit, il fallait porter la galette réglementaire...! | |
| | | Michel Expert
| Sujet: Re: BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 Ven 3 Oct 2008 - 15:42 | |
| C'est bien de voir d'anciennes photos, je ne connaissais pas cette histoire de béret, on s'instruit tous les jours | |
| | | | BIGEARD Marcel - général - grand soldat meneur d'hommes INDO et Algérie jusqu'en 1959 | |
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